Le Conseil d’Administration du CDG fixe les orientations générales
Le Conseil d’Administration, composé d’élus locaux, constitue l’organe délibérant du CDG. Il est renouvelé tous les 6 ans, suite au renouvellement général des conseils municipaux.
Il détermine les orientations et le fonctionnement du CDG sous l’impulsion du Président, fixe le montant des cotisations ou tarifs des différents services du CDG, vote le budget. Il approuve également le rapport d’activités des services qui lui est présenté annuellement.
Les services du CDG sont organisés de façon à répondre aux besoins des collectivités dans un environnement complexe qui nécessite une réelle expertise
A côté des missions obligatoires des centres de gestion fixées à l’article 23 de la loi n°84-53 du 26 janvier 1984 en matière d’emploi, de concours, de dialogue social, de conseil statutaire et de secrétariat des commissions de réforme et comité médical, le CDG 45 a développé de nombreux services complémentaires dans le champ des ressources humaines, pour répondre aux besoins des collectivités du Loiret comme le permet l’article 25 de la loi n°84-53 du 26 janvier 1984 : médecine préventive, prévention et inspection en santé sécurité au travail, conseil en organisation et en recrutement, paie, retraite, chômage, remplacement d’agents, contrats groupe (assurance statutaire, prévoyance, santé), ainsi qu’une aide à l’archivage
Devant le développement de ces missions, une nouvelle organisation a été conçue, qui prend effet au 1er mars 2021. Elle est structurée autour de 4 pôles.
La coordination des 6 centres de gestion de la région Centre Val de Loire permet de développer la mutualisation et harmoniser les pratiques
Cette coopération déjà ancienne entre les 6 centres de la région, a été renforcée d’abord par la loi n°2007-209 du 19 février 2007, puis en dernier lieu par la loi n° 2019-828 du 6 août 2019 de transformation de la fonction publique. En Région Centre Val-de-Loire, les sujets de coopération concernent prioritairement l’emploi, le conseil juridique et statutaire, la santé et la sécurité au travail. Le plus souvent, la coopération se traduit par l’élaboration d’outils et de procédures communes ou par l’organisation collective d’actions à vocation régionale.